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DJANGO UNCHAINED-2012-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Django unchained
Durée : 2h21
Date de sortie en France : 16/01/2013
Genre : WESTERN
Réalisation : Quentin TARANTINO
Prise de vues : Robert RICHARDSON
Musique : Robb BOYD
Distribution

James REMAR

- deux rôles différents -

Distributeur : Sony Pictures Releasing France
Visa d'exp. : 134077
Résumé
Avec sa brinquebalante carriole d'ancien dentiste ambulant, servant surtout à dissimuler sa lucrative activité de chasseur de primes, le docteur King Schultz, d'origine allemande, sillonne le sud des Etats-Unis à la recherche des malfrats dont la tête a été mise à prix, et plus particulièrement, depuis peu, celles des trois frères Brittle dont il ne connait pas le faciès, comptant sur la collaboration d'un certain Django, un esclave noir qu'il vient de délivrer et qui a travaillé sur leur domaine. Une étroite collaboration entre les deux hommes se met en place, après l'élimination du minable trio, avec la promesse de notre efficace arracheur de dents d'aider son nouveau partenaire à retrouver et libérer sa compagne Broomhilda von Shaft, au début du printemps prochain, des griffes d'un certain Calvin Candie, un richissime propriétaire d'une immense plantation de coton. Après moult péripéties fort sanglantes et la mort du docteur Schultz, lors d'une fusillade nourrie, Django parviendra à délivrer sa bien-aimée, laissant derrière lui, un impressionnant amas de morts et de ruines.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Même si la seconde partie du film manque effectivement d'un peu de grâce, d'humour et de légèreté, s'étirant trop en longueur et en circonvolutions inutiles, l'ensemble de la partition du réalisateur dégage un intérêt évident par une certaine forme de désinvolture parfaitement maîtrisée, la haute décontraction plastronnée par les principaux acteurs et une redoutable efficience narrative et visuelle.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
S'il avait été aussi intraitable que le malsain INGLORIOUS BASTERDS (D'ailleurs donner le beau rôle à un personnage allemand n'est-il pas un mea culpa ou/et un geste commercial rétroactifs? ), je gage que ce film serait très mal passé outre-Atlantique. C'est que le "cinéma-vengeance" de Tarantino s'attaque cette fois aux Américains mais ici, comme aux plus belles heures de KILL BILL, on se délecte à la vue de séduisants méchants zigouillés par de sympathiques héros. L'image est bourrée de références et de petits mystères (tels la femme masquée ou la photo d'un temple antique qui apparaissent furtivement) histoire de faire cogiter le gogo.Je serais bien intéressé de voir ce que produirait Tarantino s'il consentait enfin à sortir du sanguinolent.
La soumission, la survie, la ruse, l'opportunité ou l'indifférence en propriétés ou sur les routes sans protocoles ni sommations d'usages. Une approche constructive, subitement punitive, se servant d'une dialectique longue et forcenée pour nourrir une violence se servant du verbe pour s'extérioriser.Un festin royal, extravagant dans un grand guignol de qualité, inséré dans une partition décalée, sanguinolente et jouissive.Ici, il ne s'agit pas de se rapprocher d'une vérité historique, mais de se régaler de sa virtualité.