"Des flots entiers de voitures, qui ressemblent à des pièces de machines, inondent la ville. Quand les voitures s’arrêtent, les piétons traversent tels des robots programmés. Un aveugle accompagné de son chien joue de l’orgue de barbarie dans la rue personne ne les remarque. Le chien s’enfuit. Son propriétaire passe une annonce dans le journal pour le retrouver, sans succès. Le chien errant suit les gens et s’adapte très vite à leur mode de vie "automatisé". Il commence à marcher comme eux, à travailler comme eux, à manger comme eux, et même à profiter des charmes de prostituées, comme eux. Mimica pousse très loin la critique sociale qui fait l’une de des marques de son oeuvre" .....
                                                                                   
Source : Matériel de presse