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IDENTITE SECRETE-2011-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Abduction
Durée : 1h40
Date de sortie en France : 28/09/2011
Genre : ACTION
Themes
Psy(chologue-chiatre)
- cinéma américain -
Boxe
- cinéma américain -
Milieu scolaire
- cinéma américain -
Milieu médical
- cinéma américain -
Trains et gares
- cinéma américain -
Rêves et cauchemars
- cinéma américain -
Moto(cyclettes) et autres scooters
- cinéma américain -
Réalisation : John SINGLETON
Prise de vues : Peter MENZIES junior
Musique : Edward SHEARMUR
Distributeur : Metropolitan FilmExport
Visa d'exp. : 130969
Résumé
Nathan Harper, énergique et athlétique adolescent américain, se sent quelquefois mal à l'aise dans son environnement familial, confiant ses angoisses passagères (surtout un récurrent rêve de meurtre dont enfant, il est le témoin) à sa psychologue, le rassurant docteur Bennett, qu'il consulte régulièrement. Mais ses discrets nuages sont vite effacés lorsqu'il se rapproche de sa mignonne voisine Karen, élève comme lui, dans le même établissement et la même classe. Cette tranquille harmonie va se retrouver brutalement anéantie lorsque ses parents sont abattus par deux individus détermininés et qu'il a tout juste le temps de fuir avec Karen, avant que le pavillon explose. Légèrement blessés, ils se rendent à l'hôpital le plus proche, y retrouvent par chance le docteur Bennett qui les somme de quitter rapidement les lieux, au bord de sa voiture, non sans leur avoir confié les clés d'un appartement situé en Virginie. Il s'avère que nos deux adolescents ont aux trousses une bande de redoutables tueurs, mais aussi une équipe de la CIA. En effet, le garçon serait une nécessaire monnaie d'échange entre son véritable paternel et des agents secrets d'origine soviétique, à cause d'une importante liste comportant les noms de traitres à la nation américaine.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 8/20
Mauvais sur tout la ligne. Un scénario d'une époustouflante stupidité et un jeu des principaux acteurs fait de tics et de toc, pour une oeuvre d'une affligeante bêtise, réalisée par un metteur en scène qui avait fait illusion pour son premier long métrage pour ensuite faire montre de son évidente et régulière médiocrité.
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