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THE CELLAR-2003-
Nationalité : Suède
Titre VO : Huset vid vägens ände
Durée : 1h20
Film Inédit en salle en France
Genre : FANTASTIQUE
Résumé
Quatre étudiants, trois garçons et une fille, décident de louer un petit chalet en forêt, moitié temps pour certaines incontournables révisions scolaires et de l'autre pour passer quelques nécessaires moments de détente. Après avoir récupéré les clefs de la vaste bicoque, auprès d'une vieille dame fort bizarre qui habite dans les environs, Stefan, Marcus, Jessica et Jonas viennent s'installer dans les locaux d'où bientôt se dégagent sournoisement une inquiétante atmosphère d'oppression et de malaise, surtout que l'un d'eux avait cru apercevoir furtivement quelqu'un dans l'embrasure d'une fenêtre du premier étage. Ce qui trouble aussi, est l'imposante cave bétonnée de la maison qui ressemble à un véritable labyrinthe inhospitalier et lugubre, dans lequel il est facile de se perdre. Quelques faits en apparence anodins ne font finalement qu'appesantir l'ambiance générale, comme pour Stefan, l'impression que quelqu'un voulait pénétrer dans les toilettes, l'apparition d'une étrange silhouette sur une séquence vidéo tournée dans l'après-midi ou bien l'affirmation entêtée de Jessica jurant avoir vu dans les sous-sols, un homme ricanant, pointant son doigt en direction d'un mur. Plus étrange encore, le gérant de la petite épicerie où Stefan est allé faire quelques emplettes, qui s'est informé de sa présence dans les environs, affirme qu'il n'existe aucun chalet locatif à vingt lieux à la ronde. Bientôt d'ailleurs, Jonas est sujet à d'inquiétantes visions auditives et visuelles, affirmant que les murs lui parlent. La découverte d'une porte dissimulée derrière quelques panneaux en bois semble s'ouvrir vers d'étranges perspectives, comme donnant accès à une autre dimension.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 8/20
Dans la foulée hasardeuse des moult succédanés du "Projet Blair Witch", une production suédoise fauchée, aussi bien au niveau des subsides de la production que de l'inspiration scénaristique, souvent insipide et d'une affligeante banalité qui se termine médiocrement dans une conclusion introuvable.
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