Aucun résultat pour cette recherche
WHEN THE LIGHTS WENT OUT-2012-
Nationalité :
Grande-Bretagne251
Titre VO : When the lights went out
Résumé
1974, dans la rurale province anglaise du Yorkshire. Les Maynard, un jeune couple sans aspérités ni particularités, vient s'installer avec leur fille Sally, une jeune adolescente grognon et révoltée, dans une nouvelle demeure, sise en bordure de ville, une grande bâtisse a priori accueillante et spacieuse, une fois aménagée. La gamine sera la première à ressentir une étrange présence dans la maison qui manifeste son existence, à chaque fois par une intempestive coupure d'électricité, précédée par un incompréhensible balancement d'une lampe, pourtant solidement accrochée au plafond, éloignée de tout courant d'air facétieux. Bientôt les parents devront se rendre à l'évidence, leur fille est loin de raconter des balivernes d'adolescente imaginative et fantasque : une massive armoire comtoise s'écroule dans l'escalier, le paternel se retrouve mystérieusement coincé dans un réduit de la cave et la mère voit ses travaux de tapisserie, en quelques secondes, réduits à néant. De son coté, Sally, s'en en parler à ses parents, découvre que la maison est hantée par une petite fille prénommée Sophie, avec laquelle elle entretient bientôt d'étranges liens de complicité et de proximité. Ce qu'elle ignore encore, c'est que l'endroit est aussi habité, hanté, par l'esprit haineux et tourmenté d'un moine pervers qui fut pendu au Moyen-Age par ses pairs, pour avoir tué de nombreuses jeunes filles (dont Sophie) qu'il attirait en confiance et en criminel par son ecclésiastique sacerdoce.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
Une honnête réalisation se série B, sur la classique thématique "des maisons hantées" par "des forces maléfiques et surnaturelles", s'attaquant en priorité et en salacité, aux fragiles adolescentes en pleine crise pubertaire et nécessitant l'intervention urgente et salvatrice de l'Eglise pour chasser les forces du Mal. Rien de bien nouveau donc sous les arcanes de la possession, dans cette production britannique à peine honnête, gratifiée de deux séquences d'exorcisme fort mal réalisées et prêtant plutôt à l'éclat de rire réprobateur et narquois.