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PAT ET PATACHON GENDARMES-1925-
Film Muet
Nationalité : Suède
Titre VO : Polis Paulus' paskasmäll
Durée : 1h43
Réalisation : Gustaf MOLANDER
Prise de vues : Axel LINDBLOM
Résumé
La jolie et gentille Anne Marie vient rendre visite à sa tante Klara Storm qui est propriétaire d'un superbe hôtel dans la huppée station hivernale de Sjöbacka, judiciairement administrée par son infatué époux Paulus, gendarme en chef et en prétention, qui a fort à faire pour mettre le grappin sur une redoutable bande de trafiquants d'alcools divers et carabinés, dont l'identité reste à ce jour toujours inconnue des autorités. Venue de la grande ville en train, elle se réjouit déjà de revoir le véloce et séduisant Sven Örle, rencontré durant son trajet ferroviaire et dont elle est déjà amoureuse, mais aussi de pouvoir bénéficier de quelques cours de danse, avec ce charmant jeune homme, en fait un éminent professeur de tango, qui deviendra le chouchou de son énamourée et corpulente tante. Cette dernière, en manque de personnel pour gérer l'afflux ininterrompu de vacanciers, demande à son galonné d'époux de libérer le dénommé Lunken, une sorte d'hirsute et lunaire traîne-savates, qui fut dans le passé son petit ami et qui collectionne les séjours en prison, en compagnie de son étonnant chien policier. Bien sûr notre ravissante demoiselle est aussi fort sollicité par l'obséquieux et prétentieux baron von Lanck (en fait l'insoupçonné et discret chef de la bande de contrebandiers) qui se fera finalement arrêté, après une folle soirée de carnaval et un étonnant bal costumé, grâce à la petite amie de Lunken et les moult astuces et déambulations de ce dernier.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Une nouvelle aventure du célèbre duo scandinave "Pat et Patachon" pour lesquels le réalisateur suédois Gustav Molander tente (avec succès) de renouveler le genre et le style de films habituellement interprétés par les deux comiques danois, dont les dernières prestations devenaient d'une relative banalité, sans innovation ni inspiration positives, sous la lourde férule de leur coutumier réalisateur, Lau Lauritzen.
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