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UPSTREAM-1927-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Upstream
Durée : 1h25
Genres : FILM MUET / COMÉDIE
Themes
Taxis
- cinéma américain -
Milieu du théâtre
- cinéma américain -
Mariage
- cinéma américain -
Photos et photographes
- cinéma américain -
Réalisation : John FORD
Scénario : Randall FAYE
Inspiration : D'après The snake's wife de Wallace SMITH
Prise de vues : Charles G. CLARKE
Résumé
Une pension d'artistes, dans un quartier populaire new-yorkais. Parmi les différents locataires, toujours en manque d'argent et en quête d'un contrat, le vieux Campbell Mandare, expert dans le drame shakespearien, une mère et sa fille danseuses ballerines, un libidineux acteur en compagnie d'une soubrette, un duo comique en chapeaux melons, les frères Callahan, le sympathique Juan Rodriguez, un adroit lanceur de couteaux et sa partenaire, la délicieuse Gertie Ryan, amoureuse du prétentieux Eric Brasingham, fort imbu de sa personne, plus connu pour son nom illustre que pour ses supposés talents. Tout ce petit monde et quelques autres comédiens, de passage ou en représentation, est chapeauté par la diligente miss Hattie Breckenbridge Peyton, la maîtresse de maison toujours en chasse aux loyers impayés. C'est lors d'un énième repas collectif que fait irruption le débonnaire et rondouillard Al Foster, imprésario et manager de la plupart des convives, annonçant l'engagement de Brasingham, par un théâtre londonien, pour interpréter Hamlet. Désormais notre immodeste personnage va se comporter en insupportable paon infatué et quitter le petit groupe, sans un regard pour son amoureuse qui espérait l'accompagner dans son lointain déplacement. Bien sûr la demoiselle n'aura aucune nouvelle durant les trois mois d'absence du vil matamore et acceptera finalement d'épouser son partenaire de scène, l'attentionné lanceur de couteaux. C'est le jour des noces, lors de joyeuses festivités organisées par la petite communauté, que réapparaît l'odieux Brasingham, convaincu que ces réjouissances sont en l'honneur de son retour.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Visionné en 2010 lors de l'incontournable festival du film muet de Pordenone et revu avec bonheur au ciné-club de FR3 en juillet 2012, cette oeuvre suave et drôle, considérée longtemps comme perdue et dont une copie fut découverte par hasard dans les archives cinématographiques de Nouvelle-Zélande, reste un petit bonheur de psychologie et d'humour, avec en pivot un excellent Earle Foxe.
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