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Durée : 1h52
Date de sortie en France : 25/07/2012
Themes
Taxis
- cinéma japonais -
Nota
La version originale dure 2h58
Distributeur : Zootrope
Visa d'exp. : 134269
Résumé
Epouse d'un célèbre écrivain maniaque et distant qui ritualise à outrance son quotidien lourdement codifié, Izumi Kikuchi s'ennuie ferme dans son routinier carcan teinté d'attente et de monotonie, pour finalement solliciter un emploi dans un supermarché, attirer les chalands en leur faisant goûter des petites saucisses en vente dans le magasin. Elle y fera la rencontre d'une jeune femme qui lui propose de gagner bien plus d'argent en posant déshabillée devant un appareil photo. Après bien des hésitations, elle se rend à l'adresse indiquée pour se retrouver bientôt avec une libido en constant éveil, aiguillonnée par un étrange personnage, Kaoru, pour s'aventurer bien plus loin dans les arcanes du plaisir et de l'interdit aux confins du quartier chaud de la capitale via un sordide immeuble abandonné que l'on nomme mystérieusement "Le Château" et qui serait un haut lieu de la débauche et de la prostitution. Sa rencontre avec la déterminée Mitsuko Ozawa, professeure de poésie à l'université, le jour, et prostituée, la nuit, lui fera bientôt connaître un structuré réseau de call-girls qu'elle intègre en fin de compte sans l'ombre d'une réelle hésitation. La découverte par les services de police tokyotes du cadavre mutilé d'une femme dont les membres et le tronc ont servi à recomposer une poupée à taille humaine, va donner une dimension et une coloration existentielles bien plus dramatique au destin de notre aventureuse héroïne.
Critiques et Commentaires
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Malgré son salutaire et bienvenu penchant pour mettre à nu et dénoncer les tares et les hypocrisies de la société nippone, le foisonnant metteur en scène Sion Sono n'arrive pas toujours à structurer son récit qui s'éparpille trop souvent dans une outrancière surabondance de faits et de situations surnuméraires. Dommage.
Critiques - Commentaires Public
7888
inconnu(e)
Ça commence comme un conte leste avant de devenir très tortueux. Est-ce un brûlot contre les carcans d'une société japonaise aliénante ?