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BIENVENUE PARMI NOUS-2011-
Nationalité : France
Durée : 1h32
Date de sortie en France : 13/06/2012
Themes
Adolescence
- cinéma français -
Suicide
- cinéma français -
Peintres, peinture et tableaux
- cinéma français -
Réalisation : Jean BECKER
Inspiration : D'après un roman de Eric HOLDER
Prise de vues : Arthur CLOQUET
Distributeur : StudioCanal
Visa d'exp. : 130542
Résumé
"Taillandier est un peintre reconnu qui ne produit plus rien depuis bientôt sept ans. A soixante-deux ans, il veut mettre un terme définitif à sa vie devenue stérile. Malgré une aisance matérielle, malgré son amour pour Alice, sa décision semble prise, irrévocable et tragique. Il achète un fusil et organise un dernier anniversaire avant de prendre la route vers une forêt isolée des Ardennes. Mais le désespoir de Daniella, une adolescente abandonnée par sa mère et recueillie par Alice, va bouleverser ses projets et lui donner soudain le sens du devoir" .....
                                                      
Source : Matériel de presse
Critique
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Note : 16/20
Il arrive que certaines têtes d'affiche offrent l'occasion de rentabiliser un passeport de fête du cinéma... D'abord s'habituer à la facture téléfilm, ces assommants fonds sonores qui polluent. Se faire aussi à la petite nouvelle dont le frais visage débarque en gros plans alors qu'elle passe beaucoup mieux de plain-pied tant elle est expressive (Jeanne Lambert). Boucher et serveur de restaurant ressuscitent les caricatures d'après-guerre, à croire que ce populisme-là a de beaux jours en perspective, il fait rire jaune bien qu'on finisse par adhérer, ils font avancer l'intrigue, comprenez-vous... Le fusil est crucial dans cette mini-thérapie où passe et repasse Miou-Miou et où Jacques Wéber promène sa bonhomie, tous deux aptes à attendre leur homme. Il a comme on dit un peu vite "tout pour être heureux" ce Taillandier qui peste contre lui-même. Son escapade lui redonne certes des profils féminins tout neufs, autre chose que d'éternelles chapeautées vues de dos... A part les lourdeurs de forme tout au long du récit, reconnaissons que Patrick Chesnais vaut encore le déplacement.