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WEEK-END-2011-
Nationalité : Grande-Bretagne
Titre VO : Weekend
Durée : 1h33
Date de sortie en France : 28/03/2012
Genre : DRAME
Theme
Homosexualité masculine
- cinéma britannique -
Réalisation : Andrew HAIGH
Scénario : Andrew HAIGH
Prise de vues : Urszula PONTIKOS
Récompenses
- Meilleur Espoir (Tom Cullen) et Meilleure Production aux British Independent Film Awards
- Mention Spéciale "La Règle du Jeu" au Festival du film britannique de Dinard
- Meilleur Film au Festival du film de Hambourg
- Grand Prix du Jury au Los Angeles Outfest
- Meilleur Acteur (Tom Cullen) et Meilleur Film au Festival du film de Nashville
- Prix du Public au Festival du film de San Francisco
- Prix du Public au Festival Inside Out de Toronto
Distributeur : Outplay
Visa d'exp. : 132401
Résumé
Un vendredi soir, après une soirée arrosée chez ses amis, Russell décide de sortir dans un club gay. Juste avant la fermeture, il rencontre Glen et finit par rentrer avec lui. Mais ce qu'il avait pensé n'être qu'une aventure d'un soir va finalement se transformer en toute autre chose. Lors de ce week-end rythmé par les excès, les confidences et le sexe, les deux hommes vont peu à peu apprendre à se connaître. Une brève rencontre qui résonnera toute leur vie.
Source : Matériel de presse
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Critiques - Commentaires Public
Note : 19/20
19,5/20 : Magnifique film-flash entre deux êtres qui vont s'apprendre l'un de l'autre durant un week-end. Du ton cru de cette rencontre à la pulsion, on attend d'abord du plus salace, voire du sordide. Sauf qu'on va virer en quelques plans et une explication brève à une adhésion totale. Emotion grandissante... La manière de filmer y est pour beaucoup (le champ contrechamp pendant les paroles décisives, ou la plongée sur la petite silhouette qui se retourne, repart...). Mais sans doute en premier l'assortiment des deux acteurs principaux, soit Russel, un jeune sans référence parentale précise, réfléchi, souvent partagé entre intime et public et Glen, le gars de passage qui dit ce qu'il veut de lui, un tantinet hâbleur, attention, c'est le plus surprenant ! Des scènes affectueuses de défi, d'autres un peu hot avec le recours aux expédients pour monter très haut, mais jamais porno décérébrées ni même homo collectionneur frotti frotta. Le regard de Andrew Haig se veut frais sur ces êtres livrés corps et âmes, parce que c'est plus fort qu'eux et parce que c'est leur heure. L'homosexualité version amour universel, une merveille à offrir aux homophobes !
Bibliographie