Une exceptionnelle prestation de Luis Tosar, dans un rôle tout en aspérités et en nuances, fort éloigné des habituelles caricatures monolithiques de pervers caractériels et sanguinaires qui hantent trop souvent nos écrans maladifs et en prime une séquence anthologique dans l'appartement de la jeune fille, que César caché, tente vainement de quitter, alors que la demoiselle et son petit copain viennent de se réveiller.