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LA FÉE-2011-
Nationalités : France / Belgique
Durée : 1h33
Date de sortie en France : 14/09/2011
Genre : COMÉDIE
Themes
Hôtels
- cinéma français -
Cécité
- cinéma français -
Emigration et immigration
- cinéma français -
Milieu médical
- cinéma français -
Psy(chologue-chiatre)
- cinéma français -
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma français -
Prisons
- cinéma français -
Chiens
- cinéma français -
Distributeur : MK Diffusion
Visa d'exp. : 126355
Résumé
A cause d'une pluie battante et du rébarbatif dérailleur de sa bicyclette, le brave Dom arrive fort en retard à son poste de veilleur de nuit, dans un petit hôtel, se retrouvant à deux doigts de se faire licencier. A son nocturne poste, il accueille finalement deux clients plutôt singuliers, un Anglais qui tente par tous les moyens de dissimuler son petit chien (les canidés étant interdit dans les locaux) et une intrigante demoiselle qui se présente comme une fée, sauvant notre bonhomme d'un fatal étouffement causé par un rébarbatif sandwich. De plus, la charmante créature propose à notre débonnaire employé de formuler trois voeux qu'elle exaucera sans hésitation. Son premier souhait sera d'obtenir un scooter flambant neuf et sa seconde aspiration, avoir pour son nouveau deux roues, de l'essence gratuite en permanence. Passablement séduit par l'incroyable créature, Dom lui fixe rendez-vous, le lendemain, à dix-huit heures dans un café proche, baptisé "L'amour flou" et va rapidement se sentir plein d'attirances pour l'étonnante demoiselle. Un tendre sentiment semble se dessiner entre les deux protagonistes, mais voilà que la fée disparaît mystérieusement, en fait séquestrée dans une grande tour qui abrite un singulier hôpital psychiatrique.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
Troisième collaboration de l'indéfectible trio de réalisateurs/comédiens, Dominique Abel, Fiona Gordon et Bruno Romy qui poursuit avec un certain bonheur son extravagant filmage anachronique et déjanté, avec quelques gags transcendants dans un ensemble hétéroclite, instable et discutable, cultivant une saine absurdité, indirect hommage à un certain cinéma muet, mais qui hélas ne tient pas tout à fait la longueur.
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