Aucun résultat pour cette recherche
THE LAST SON-2011-
Nationalités : France / Irlande / Grande-Bretagne
Titre VO : Hideaways
Durée : 1h35
Date de sortie en France : 23/11/2011
Réalisation : Agnès MERLET
Scénario : Nick MURPHY
Prise de vues : Tim FLEMING
Musique : Eric NEVEUX
Distributeur : Wild Bunch Distribution
Visa d'exp. : 126230
Résumé
Depuis plusieurs générations, la gent masculine des Furlong, une famille rurale de l'Irlande profonde, est frappée d'une étrange perturbation, une sorte de don surnaturel, souvent considéré comme une malédiction, qui fait que dans une situation de peur et d'angoisse, l'homme en malaise et en crainte, diffuse d'incontrôlables forces psychiques qui sèment la perturbation ou la mort autour de lui, d'une façon incompréhensible et radicale, comme si toute vie était définitivement effacée, dans un cercle précis concomitant au drame humain qui se joue. C'est pour cette raison que le jeune James Furlong, indirectement responsable de la mort d'une partie du troupeau de bovidés de ses parents, se retrouve dans une maison de redressement dont il va s'échapper après le décès de la plupart des pensionnaires dont il était devenu le souffre-douleur. Dix ans plus tard, vivant comme un reclus au fin fond d'une profonde forêt, fuyant toute proximité humaine afin d'éviter une nouvelle hécatombe, le jeune homme est perturbé dans sa quiète solitude par l'irruption d'une séduisante demoiselle, Mae-West O'Mara, qui vient de s'enfuir d'un hôpital, après l'annonce médicale d'un décès imminent, suite à son vorace cancer des intestins. Lentement d'indistincts rapports de proximité vont peu à peu rapprocher les deux réprouvés de l'existence.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 6/20
D'une gonflante mièvrerie nauséeuse, sur un scénario d'une lourdeur pachydermique, où le jeu des acteurs, la musique d'accompagnement et la structure du récit s'enlisent dans de vomitifs magmas démonstratifs sur l'Amour qui sauve, régénère et triomphe, une oeuvre mortelle, suicidaire, qui en moins de rien peut parvenir à détruire chez le cinéphile néophyte, une naissante passion pour le Septième Art.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire