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LA MAIN DROITE DU DIABLE-1987-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Betrayed
Durée : 2h07
Genre : DRAME
Themes
Racisme
- cinéma américain -
Réalisation : COSTA-GAVRAS
Scénario : Joe ESZTERHAS
Prise de vues : Patrick BLOSSIER
Musique : Bill CONTI
Produit par Irwin WINKLER
Distributeur : United International Pictures
Visa d'exp. : 68654
Résumé
Après l'assassinat d'un animateur de radio d'origine juive dont les émissions jouaient la carte de l'agressivité, le FBI envoie un agent dans la région (l'inspecteur Cathy Weaver) pour mener une discrète enquête sous le couvert d'une saisonnière spécialisée dans la conduite des moissonneuses-batteuses. Elle va s'amouracher du principal suspect, Gary Simmons, vétéran du Vietnam, veuf, père de deux adorables mômes.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Dénonciation cinglante de l'Amérique profonde avec ses craintes et ses haines, ses boucs émissaires et son racisme. De l'excellent travail !
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
signature non-référencée
La Main droite du diable est une oeuvre remarquablement interprétée par des acteurs qui semblent s'être totalement identifiés aux personnages. Un des rares films qui ne vous laisse pas froid .... La Petite Puce Piou.
inconnu(e)
Un film avec un scénario que j'ai trouvé original, mêlant des sentiments affectifs particulièrement dramatiques, un Fanatisme qui se nourrit de sanglants massacres raciaux. Ce film nous fait partager les sentiments et les espoirs d'une jeune femme qui se trouve en porte à faux entre un homme qu'elle aime avec lequel elle rêve de faire sa vie, et sa mission qui était de rechercher les responsables de massacres racistes. Une oeuvre que j'ai beaucoup aimé, peut-être aussi à cause de l'effet de surprise causé par l'histoire.
Quand l'envers du décor devient apparent et que la réalité "vraie" s'affirme, on découvre que derrière les apparences trompeuses et séduisantes du bon père de famille, de la franche et conviviale atmosphère villageoise, grouillent de bien sombres agissements. Ostracisme, racisme, peur et stupidité pour un fameux panier de crabes dans lequel les hautes valeurs de l'Amérique permettent et tolèrent tous les agissements épurateurs. Chapeau aussi à Costa-Gavras d'avoir montré la police tout aussi tortueuse, médiocre, manipulatrice... (NOVEMBRE 88)
Bibliographie