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IMPARDONNABLES-2011-
Nationalité : France
Durée : 1h51
Date de sortie en France : 17/08/2011
Themes
Iles
- cinéma français -
Relations entre père et fille(s)
- cinéma français -
Chiens
- cinéma français -
Homosexualité féminine
- cinéma français -
Homosexualité masculine
- cinéma français -
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma français -
Prisons
- cinéma français -
Mariage
- cinéma français -
Suicide
- cinéma français -
Milieu médical
- cinéma français -
Réalisation : André TÉCHINÉ
Inspiration : D'après un roman de Philippe DJIAN
Prise de vues : Julien HIRSCH
Musique : Max RICHTER
Distributeur : UGC Distribution
Visa d'exp. : 126143
Résumé
En gênante panne d'inspiration, Francis s'en vient à Venise pour écrire son nouveau roman, cherchant pour cela un appartement ou une maison disponible. Il fait ainsi connaissance avec Judith, responsable d'une agence immobilière, qui lui soumet une offre de location d'une villa isolée sur une petite île, située dans la vaste lagune vénitienne, proposition qu'il accepte tout de go, à condition qu'elle vienne y vivre avec lui. Sans vraiment hésiter, après en avoir parlé un peu avec sa vieille amie intime, Anna Maria Lemo, dont le fils Jérémie est en prison, Judith consent à l'étonnant marché...
Un an et demi plus tard, Alice, la fille de notre romancier amoureux, débarque sur les lieux, secrètement éprise d'un jeune aristocrate magouilleur, prénommé Alvise, en compagnie duquel elle va mystérieusement disparaître, occasionnant de fortes inquiétudes à son père qui va demander à une spécialiste des recherches difficiles (Anna Maria) une discrète enquête sur les agissements de sa fille...
Quelques mois plus tard encore, de plus en plus méfiant et soupçonneux quant à la fidélité de sa désormais épouse Judith, Francis, toujours en panne d'inspiration, propose à Jeremy, le fiston d'Anna Maria, désormais sorti de prison, de prendre en filature sa compagne, durant quelques semaines.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
C'est dans le labyrinthique dédale des ruelles, des canaux et des sentiments que le réalisateur filme avec un sens aigu de la dédramatisation, des rapports affectifs en instance de doute et de réalisation, des étreintes de proximité et de solitude, que le temps, sans cesse, malmène, impardonnablement.
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Bibliographie