Aucun résultat pour cette recherche
LA PIEL QUE HABITO-2010-
Nationalité : Espagne
Titre VO : La piel que habito
Durée : 2h00
Date de sortie en France : 17/08/2011
Genre : THRILLER
Themes
Réalisation : Pedro ALMODOVAR
Scénario : Pedro ALMODOVAR
Inspiration : D'après le roman Mygale de Thierry JONQUET
Prise de vues : José Luis ALCAINE
Musique : Alberto IGLESIAS
Autres Récompenses
* CANNES 2011 : Prix de la jeunesse
* Prix GOYA 2012 : Meilleurs maquillages et coiffures
Distributeur : Pathé Films
Visa d'exp. : 129169
Résumé
Eminent chirurgien plasticien, Robert Ledgard a consacré de nombreuses années, après le suicide de son épouse, atrocement brûlée dans l'incendie de sa voiture, à la création d'un nouveau tissu cellulaire qui remplacerait la peau abîmée ou détruite, par l'âge, la maladie, l'accident. Ces expériences ont nécessité de constantes transgressions des lois sur la bioéthique, la complicité discrète de quelques collègues médecins et bien sûr un ultime cobaye pour vérifier le bien-fondé de ses recherches. La victime, puisque c'est bien ainsi qu'il faudra considérer le malheureux "élu" désigné pour concrétiser les incroyables expérimentations de notre praticien, lui permettra en même temps d'assouvir une terrible vengeance envers celui qui était responsable des graves perturbations psychologiques de sa fille Norma. Et c'est avec une froide détermination et une maladive obstination que Robert Ledgard franchit les frontières de la légalité, employant l'enlèvement, la séquestration et la mutilation pour parvenir à ses douteuses et répréhensibles fins. Une mécanique bien huilée, parfaitement agencée dans ses moindres greffons, jusqu'au moment inattendu et fatal où les sentiments vont gripper le destin de notre troublé et troublant disciple d'Esculape.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
On peut bien sûr être séduit par la fausse asymétrie scénaristique d'un récit en apparence bipolaire, orchestrée par l'utilisation du retour en arrière narratif et applaudir à la duplicité de l'histoire. Pour notre part quelques éléments superfétatoires, (comme par exemple la venue du frère déguisé en tigre ou l'enfermement de Vicente dans un cachot souterrain) et des longueurs préjudiciables handicapent sérieusement l'oeuvre pour nous laisser qu'une impression mitigée, une transplantation ratée.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire