Tant mieux pour Sara Forestier, distinguée suite à ce film et merci à Jacques Gamblin toujours aussi proche du spectateur dans tous ses rôles. Mais si j'ai souri, ri à plusieurs reprises, bien perçu la volonté de fraternité sous la rudesse, c'est vu par un esprit "bobo", bien formaté tout ça, avec des situations très "réflexe" côté dialogues et mise en scène, et puis Sara en fait quand même des tonnes, trop en roue libre, bien tape-à-l'oeil, autrement plus captivante dans "L'esquive" !