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PELLE LE CONQUÉRANT-1988-
Nationalités : Danemark / Suède
Titre VO : Pelle erobreren
Durée : 2h30
Date de sortie en France : 02/11/1988
Genre : DRAME
Réalisation : Bille AUGUST
Scénario : Bill AUGUST
Inspiration : D'après le roman Pelle le conquérant de Martin ANDERSEN NEXO
Prise de vues : Jörgen PERSSON
Musique : Stefan NILSSON
Produit par Per HOLST
Distributeur : AMLF
Visa d'exp. : 69042
Résumé
Au courant du 19e siècle, moult émigrants suédois quittaient leur pays dans l'espoir d'une vie meilleure au Danemark et dans l'idée de partir ultérieurement aux Etats-Unis. Parmi eux, le jeune Pelle et son père vieillissant qui seront engagés dans une ferme du littoral. Dirigés de loin par le dénommé Kongstrup, fort intéressé par tous les jupons de la région, sous la coupe d'un brutal régisseur et d'un sournois commis, leur vie quotidienne est plus un enfer que le paradis tant rêvé, avant leur départ.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Beauté, naturalisme, sensibilité et rigueur, une oeuvre généreuse, émouvante d'une profonde sincérité, d'un réalisateur d'un extrême intérêt.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
L'histoire se passe au Danemark au siècle dernier. Les héros, un père et son fils immigrés, recherchent espoir et fortune au sein de la terre promise de l'époque parmi la dure loi de la vie paysanne. Tiré d'un roman-fleuve, un film-fleuve bien conçu, bien joué. L'analyse des personnages est faite avec finesse et réalisme. Dans la lignée de "L'arbre aux sabots" ou de "Tess", ce film ne restera pas dans les annales du box-office, mais il est agréable à voir et permet de passer un bon moment cinématographique .
Ah! Ce naturalisme cher au cinéma scandinave qui nous propose un film d'une intense émotion défiant avec allégresse les écueils de la sensiblerie facile et du lacrymal gagne-petit. C'est grand, c'est beau et de toute évidence d'une sincérité débordante. On n'oubliera pas de si tôt l'étonnante prestation de Max von Sydow, en père velléitaire que la vieillesse a fourgué dans l'hésitation, la fuite et la peur... (NOVEMBRE 88)