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EASTERN PLAYS-2009-
Nationalité : Bulgarie
Titre VO : Eastern plays
Durée : 1h23
Date de sortie en France : 18/03/2010
Réalisation : Kamen KALEV
Scénario : Kamen KALEV
Prise de vues : Julian ATANASSOV
Musique : Jean-Paul WALL
Récompenses
- Grand Prix du Jury, Angers 2010
- Prix du Meilleur Film 2009 (municipalité de Sofia)
- Prix CICAE, Sarajevo 2009
- Prix Meilleurs Acteur, Réalisation, Film de Fiction, Tokyo 2009
- Prix du Meilleur Film, Varsovie 2009
- Prix de Reconnaissance de l'Oeuvre dans la Culture Bulgares, Apollonia 2009
- Prix du Jeune Public, Antalya 2009
- Prix du Jury, Meilleurs Acteur, Réalisateur, Bratislava 2009
- Prix Spécial du Jury, Estoril 2009
Distributeur : Epicentre Films
Visa d'exp. : 125221
Résumé
Adolescent frondeur et taciturne, Georgi est de plus en plus souvent en opposition frontale avec son père et traîne, en manque de reconnaissance et d'affirmation, avec une bande de nazillons sofiotes, sans cesse à la recherche de provocation et de castagne racistes. Son grand frère Itso, en cure de sevrage d'héroïne via un suivi médical à la méthadone, peint, ponce et rabote pour une entreprise d'ameublement, rêvant d'ouvrir un atelier artistique avec un ancien copain des Beaux-Arts. Les deux frangins, qui ne se voyaient plus guère, vont à nouveau se croiser un soir, alors que l'un agressait avec ses amis gammés, des touristes turcs et que le second tentait de leur porter secours. Pour Itso se sera aussi l'occasion d'un lent cheminement vers une existence moins fantomatique, qui prend lentement du sens et de la lumière, à travers l'immensité des tendres yeux mordorés d'une étrangère et la nocturne compassion pour un vieillard et ses maigres cartons de survie.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Premier long métrage d'un jeune réalisateur bulgare, mainte fois primé en festivals qui marque l'émergence d'une incontestable personnalité dans le milieu cinématographique slave. D'une nonchalante évidence, avec une remarquable aisance noctambule et une simplicité essentielle qui rappelle le meilleur d'un Cassavetes en roue libre, une oeuvre sourde et magnifique dédiée à la mémoire de l'acteur Christo Christov décédé avant la fin du tournage, rattrapé par ses stupéfiants démons.
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Bibliographie