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HORS DE CONTRÔLE-2009-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Edge of darkness
Durée : 1h48
Date de sortie en France : 17/02/2010
Genre : THRILLER
Themes
Journalisme et presse
- cinéma américain -
Poisons
- cinéma américain -
Danger nucléaire
- cinéma américain -
Atome, uranium et nucléaire
- cinéma américain -
Réalisation : Martin CAMPBELL
Inspiration : D'après une série télévisée de Troy KENNEDY MARTIN
Prise de vues : Philip MEHEUX
Musique : Howard SHORE
Distributeur : Metropolitan FilmExport
Visa d'exp. : 124755
Résumé
Vous prendriez bien un verre de lait au thalium ...
Solitaire et taciturne, Thomas Craven, officier de police dans la grande mégalopole de Boston, s'en vient chercher à la gare sa fille Emma, une pétulante jeune fille de vingt-quatre ans, qui travaille comme stagiaire dans une entreprise "sensible", sur un site ulta-protégé, dans le domaine de la recherche et de l'expérimentation nucléaires. Cordiales retrouvailles malgré un état de santé malingre pour la demoiselle qui souffre de nausées, de fatigue chronique, de saignements de nez et qui semble anormalement soucieuse. Mais les confidences attendues n'auront pas lieu : en instance de départ pour le médecin, accompagné de son paternel, elle se fait abattre sur le pas de la porte, par la mortelle décharge d'une arme à feu, visiblement destinée à son père. Alors que l'enquête policière piétine, Craven découvre que sa fille était en fait armée et que son petit copain dont il parvient à retrouver la trace grâce au numéro d'immatriculation de l'arme à feu, est imprégné d'une curieuse peur panique lorsqu'on évoque le quotidien de sa compagne et ses relations avec d'éventuels opposants au nucléaire. Une visite au consortium de Northmoor où travaillait sa fille et l'attitude ambiguë des dirigeants de l'entreprise, incitent Craven à pousser ses investigations dans cette direction.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Visiblement le film, qui marque le retour devant la caméra de Mel Gibson après huit années d'absence, a beaucoup déçu la presse spécialisée. Tant d'opprobres et de stigmatisations pour une oeuvre certes bancale, condensé d'une série TV britannique de six épisodes, ne se justifie guère, méritant le déplacement rien que pour l'étonnante prestation de Ray Winstone dans le rôle de l'ambivalent et faussement paternel Darius Jedburgh étatique et discret tueur à gages en phase de maladie terminale.
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