Aucun résultat pour cette recherche
LA DANSE ROUGE-1928-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The red dance
Durée : 1h40
Themes
Prisons
- cinéma américain -
Milieu rural
- cinéma américain -
Milieu scolaire
- cinéma américain -
Mariage
- cinéma américain -
Danse
- cinéma américain -
Réalisation : Raoul WALSH
Inspiration : D'après un roman de Henry LEYFORD GATES
Résumé
Le grand-duc Eugen s'en vient à Petrograd, rencontrer le tsar pour comprendre certains ordres absurdes de replis donnés aux troupes lors de violents affrontements avec les dissidents rouges. Il s'avère rapidement que des agitateurs et des traitres complotent jusque dans les plus hautes sphères de l'armée et que d'autres incitent la population à la révolte, cela d'autant plus facilement que le peuple se meurt de faim et que l'aristocratie se vautre dans la luxure et les excès de toutes sortes. Pendant ce temps, une jeune paysanne prénommée Tasia, qui se bat pour l'éducation et l'enseignement des masses incultes et soumises, rend visite à son père, Gregori Ivanoff, emprisonné par le simple fait d'être enseignant. Bonne à tout faire, dans une famille de rustres bouseux et brutaux, elle est échangée contre un cheval proposé par un certain Ivan Petroff, une espèce de colosse, fort porté sur les alcools en tous genres et les fréquentes libations. La jeune femme sera finalement défendue par le noble grand-duc, venu dans la région, occuper le pavillon de chasse de la princesse Varvara qu'il devrait épouser, selon les ordres de Sa Majesté. Cette rencontre fortuite entre les deux (futurs) tourtereaux va peu à peu se transformer en de réciproques attirances que le destin se chargera un temps, d'ignorer et même de mettre périlleusement en danger.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Une sympathique histoire mélodramatique, avec quelques remarquables scènes de foule, plus spécifiquement durant l'attaque du grand-palais par les forces révolutionnaires. On notera de même une exceptionnelle prestation d'un acteur peu connu, Ivan Linow, dans l'ambivalent rôle de Petroff qui vole littéralement la vedette au grand Charles Farrell, bien pâle et bien éteint, cette fois-ci.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire