Aucun résultat pour cette recherche
POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE-2008-
Nationalité : Norvège
Titre VO : Varg Veum - Din til doden
Durée : 1h30
Genre : POLICIER
Themes
Réalisation : Erik RICHTER STRAND
Inspiration : D'après un roman de Gunnar STAALESEN
Prise de vues : Johan-Fredrik BODTKER
Musique : Ginge ANVIK
Résumé
Le détective privé Varg Veum, qui mène une routinière enquête concernant une voiture volée, pour le compte d’un certain Jonas Andresen, tombe en plein drame personnel et relationnel mettant en cause son client et l’ancienne compagne de ce dernier, la pulpeuse Wenche, avec comme à son habitude dans ce genre de drame, la présence d’un enfant dont chacun se dispute le droit de garde. Il s’avère finalement que le véhicule a été revendu par l’ex-épouse à un garagiste de la ville, individu fort louche dont les deux apprentis ont braqué récemment l’hippodrome de Bergen, se servant de la voiture en question pour leur fuite. Apprenant par Veum l’illicite et déplaisante transaction, Andresen se rend auprès du nouveau propriétaire et récupère plutôt rudement son bien, ignorant que dans le coffre de la fameuse bagnole se trouve caché le produit du hold-up. C’est en se rendant chez Wenche, que notre détective est le témoin involontaire de la mort de son commanditaire, chutant violemment du troisième étage, alors même qu’une silhouette encapuchonnée prenait la fuite sous le regard affolé de l’ancienne épouse et d’un voisin, Gunnar Vage, un grassouillet enseignant qui avait l’habitude de s’occuper de Roar, le fiston du couple divorcé.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
On ne peut guère parler de réussite pour cette fade adaptation d’un excellent roman de Gunnar Staalesen, habituellement bien mieux servi par des compatriotes et réalisateurs norvégiens bien plus inspirés. Et ce n’est ni l’intrigue, toujours aussi foisonnante et tordue à souhait, ni les principaux acteurs, souvent déjà présents dans les autres adaptations, qui peuvent être mis en cause. L’ensemble dégage hélas une gênante apathie générale, l’impression d’un investissement minimaliste et une notoire incapacité à dynamiser les éléments dramatiques de l’histoire.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire