Premier film d'un metteur en scène allemand, tourné exclusivement en France, pour lequel la totalité du filmage n'excèdera pas une soixantaine de jours, malgré l'évident capharnaüm qui règnait dans les studios où se côtoyaient quelquefois cinq nationalités différentes. Cette bienheureuse restauration de la Cinémathèque Française, qui date de la fin des années 1980, ne permet pas de prendre la pleine mesure de l'oeuvre dont il ne subsiste à l'heure actuelle que seulement la moitié du métrage initial.