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MEMORY OF LOVE-2009-
Nationalités :
Chine42 / France60
Titre VO : Memory of love
Durée : 1h33
Date de sortie en France : 19/08/2009
Distribution
Distributeur : Bac Films
Visa d'exp. : 120895
Résumé
"In the mood of thought"
Décoratrice et styliste de métier, la dynamique He Sizhu, marié à un jeune médecin, un certain Li Xun, fréquente depuis quelques mois le dénommé Chen Mo, professeur de danse avec lequel elle sera victime d'un terrible accident de voiture. Souffrant d'une grave amnésie rétrograde qui la situe trois années en arrière, à l'époque où elle venait de rompre avec Quan Cheng, le meilleur ami de son mari, praticien comme lui dans la même clinique où les deux amants venaient d'être acheminés en urgence et en ambulance. Li Xun va ainsi tenter de reconquérir son épouse, en replaçant sa femme dans les lieux et les situations qui les avaient rapprochés dans le passé. Alors que son rétablissement s'opère avec efficacité et constance, il décide alors de lui rapporter les événements concernant son accident et son adultérine liaison.
Décoratrice et styliste de métier, la dynamique He Sizhu, marié à un jeune médecin, un certain Li Xun, fréquente depuis quelques mois le dénommé Chen Mo, professeur de danse avec lequel elle sera victime d'un terrible accident de voiture. Souffrant d'une grave amnésie rétrograde qui la situe trois années en arrière, à l'époque où elle venait de rompre avec Quan Cheng, le meilleur ami de son mari, praticien comme lui dans la même clinique où les deux amants venaient d'être acheminés en urgence et en ambulance. Li Xun va ainsi tenter de reconquérir son épouse, en replaçant sa femme dans les lieux et les situations qui les avaient rapprochés dans le passé. Alors que son rétablissement s'opère avec efficacité et constance, il décide alors de lui rapporter les événements concernant son accident et son adultérine liaison.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Sur un élémentaire canevas scénaristique hautement improbable et sous un esthétisme froid et bleuté, Chao Wang nous livre une oeuvre intellectuelle, somme toute dépourvue d'affects apparents, de chaleur émotionnelle et de démonstrations sentimentales, qui range implacablement le film dans l'exercice de style, certes brillant mais un peu vain, avec toutefois en catimini, quelques questionnements essentiels, mais dont l'adhésion et le partage ne gagnent jamais notre assentiment émotif.
Bibliographie
L'annuel du Cinéma 2010