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MEURTRES-2009-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Murder loves killers too
Durée : 1h12
Film Inédit en salle en France
Genres : HORREUR / SLASHER
Themes
Tueurs psychopathes
- cinéma américain -
Inceste
- cinéma américain -
Réalisation : Drew BARNHARDT
Scénario : Drew BARNHARDT
Prise de vues : Kevin M. GRAVES
Musique : Ryan FRANKS
Résumé
Trois jeunes filles et deux garçons sont en route pour un week-end d'enfer, au fin fond d'une région montagneuse et boisée, afin de rejoindre au plus vite un coquet chalet isolé qu'ils ont loué pour la circonstance. La bicoque est plus que présentable, le réfrigérateur copieusement garni et les perspectives de détente plutôt appréciables. Ce qu'ignorent encore les badins arrivants, c'est que dans la vaste demeure se cache le propriétaire des lieux, un individu fort peu recommandable qui va rapidement montrer ce dont il est capable. C'est Lindy, une des affriolantes demoiselles, qui la première va disparaître de la scène, lestement agrippée et trucidée par notre méthodique et maladif tueur. Puis c'est au tour de Kyle qui se retrouvera suspendu à un inconfortable croc de boucher, la panse trouée et proprement éviscérée. Brian, quant à lui, n'a guère droit à tous ces raffinements, il est en toute simplicité sauvagement poignardé et sa copine Tamra se voit la bouche perforée avec le même efficace et tranchant instrument. Reste Missy qui après une épuisante et longue traque dans la demeure et quelques vaines tentatives pour s'échapper, se retrouve attachée sur un lit, affublée d'une paire de lunettes et sommée d'appeler son tortionnaire "papa". Plus tard, notre psychopathe qui est obligé de rentrer chez lui, auprès de sa petite famille, quitte la macabre baraque, en ayant pris soin d'emmener la dernière victime dans le coffre de sa voiture.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 8/20
L'ensemble est plutôt quelconque et sans réelle originalité par rapport à la kyrielle des tueurs psychopathes qui ont déjà hanté les écrans et les mémoires. Alors que de pénibles longueurs parsèment quelques fastidieuses séquences répétitives, la fin du film se démarque par sa linguale stupidité et son bancal dénouement. Restent quelques rares éléments de perversité à peine effleurés, jamais exploités dans ses possibilités scénaristiques. Quant à la subtile signification du titre du film, forcément géniale et profonde, nous restons dans l'expectative et l'incompréhension les plus totales.
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