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LES INSOUMIS-2007-
Nationalité : France
Durée : 1h40
Date de sortie en France : 11/06/2007
Genre : POLICIER
Themes
Hôtels
- cinéma français -
Boxe
- cinéma français -
Chômage
- cinéma français -
Drogue - trafic
- cinéma français -
Distributeur : SND
Visa d'exp. : 108076
Résumé
Un dangereux truand, ancien légionnaire, spécialiste dans les explosifs en tous genres, Abel Vargas, est libéré, durant son transfert au tribunal d'Aix, par une efficace équipe de malfrats. Quelques jours plus tard, débarque au commissariat de la petite ville de Saint-Merrieux, sur les rives de l'étang de Berre, jouxtant une immense décharge publique, le commandant Vincent Drieu, muté de la capitale "pour raison de service". Il découvre une sorte de bunker délabré, en instance de fermeture, dirigé par la commissaire Vasseur qui se contente de régler les affaires courantes, sans faire de vagues excessives. Plutôt accueilli froidement à cause de son zèle intempestif et son opiniâtreté pesante, le nouvel arrivant qui loge à l'insalubre hôtel Marysol, a comme particularité de parler le berbère et de ne pas porter d'armes. Certains indices et recoupements tentent à prouver que les affaires du dénommé Raphaël Farge, patron du Black Coffee, une animée et lucrative boîte de nuit, sont directement liées au trafic de la drogue qui sévit largement dans la région. Ce que nos pandores ignorent encore, c'est que le prospère tenancier de la discothèque a fait libérer le compétent Vargas dans le but de percer l'imposant coffre-fort du Service local des Douanes qui renferme moult stupéfiants et maintes liquidités en quantités impressionnantes.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 10/20
L'archétype même du polar français médiocrement correct, avec son incontournable et bruyante boîte de nuit aux traditionnelles exhibées et pulpeuses danseuses aux seins nus, l'inévitable héros taiseux et secret qui trimbale ses maux et ses secrets, une ribambelle de méchants plus armés et plus redoutables que la plus sophistiquée unité militaire américaine et un chapelet de clichés plus navrants les uns que les autres. On passe gentiment sur le dernier quart d'heure, d'une exemplaire et plutôt affligeante nullité. Comme son personnage principal, le metteur en scène a dû abuser de Paxitoril et d'Euphorex, pour concocter une telle scrupuleuse banalité, dans laquelle, c'est à noter, tous les acteurs sont (presque) irréprochables.
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Bibliographie