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SOUS LE SIGNE DU DEMON-2008-
Nationalité :
Russie163
Titre VO : S.S.D.
Durée : 1h30
Film Inédit en salle en France
Distribution
Résumé
1984 : camp de la Clairière, au fin fond de la forêt soviétique. Des adolescents sont victimes d'un sanglant tueur psychopathe, jamais retrouvé par les forces de police...
2008 : après la mise en place du casting d'une quelconque émission de télé-réalité où cinq hommes et cinq femmes se mettent en scène pour être sélectionnés, les concurrents retenus sont emmenés sur les mêmes lieux où se déroula, vingt-quatre années auparavant, le terrible drame...
Et comme par hasard, une nouvelle tragédie se met en place par l'assassinat d'un des participants, par une meurtrière flèche dans le crâne. Evidemment les futures victimes ne peuvent quitter l'endroit entouré d'une solide enceinte, de plus électrifiée. Et pour corser le tout, au dehors, quelques méchants dobermans de la production veillent. La brutale agression peut donc à nouveau se perpétrer, scandée par l'étrange voix au mégaphone de notre tueur en série, orchestrant son macabre jeu mortel.
2008 : après la mise en place du casting d'une quelconque émission de télé-réalité où cinq hommes et cinq femmes se mettent en scène pour être sélectionnés, les concurrents retenus sont emmenés sur les mêmes lieux où se déroula, vingt-quatre années auparavant, le terrible drame...
Et comme par hasard, une nouvelle tragédie se met en place par l'assassinat d'un des participants, par une meurtrière flèche dans le crâne. Evidemment les futures victimes ne peuvent quitter l'endroit entouré d'une solide enceinte, de plus électrifiée. Et pour corser le tout, au dehors, quelques méchants dobermans de la production veillent. La brutale agression peut donc à nouveau se perpétrer, scandée par l'étrange voix au mégaphone de notre tueur en série, orchestrant son macabre jeu mortel.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 9/20
Rien de très nouveau dans le monde hyper-codé du slasher. Que nous soyons sous la barbarie saignante d'un éventreur yankee ou dans la ronde tranchante d'un tordu slave, on reste dans la même schématisation sans surprise ni variation, mourant d'ennui dans notre confortable fauteuil, alors que nos pauvres victimes se font royalement charcuter sous toutes les coutures...