D'un magnifique roman de Stefan Zweig, somptueusement mis en scène par
Andrew Birkin, fin des années 80, Robert Siodmak nous avait gratifié, cinquante-cinq années plutôt d'une excellente première adaptation, incisive et intéressante de bout en bout, avec un Willi Forst insidieux à souhait et la présence remarquable du tout jeune Hans Joachim Schaufuss, à la courte carrière cinématographique (tout de même dix sept films) brisée quelque part sur le front soviétique, en octobre 1941, à l'âge de 22 ans.