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TRANSSIBÉRIEN-2008-
Nationalités : Grande-Bretagne / Espagne / Allemagne
Titre VO : Transsiberian
Durée : 1h50
Film Inédit en salle en France
Genre : SUSPENSE
Themes
Trains et gares
- cinéma britannique -
Photos et photographes
- cinéma britannique -
Milieu médical
- cinéma britannique -
Drogue - trafic
- cinéma britannique -
Réalisation : Brad ANDERSON
Prise de vues : Xavi GIMENEZ
Musique : Alfonso VILALLONGA
Récompenses
* GAUDI AWARD 2009 : * Meilleurs décors et Meilleur montage
Résumé
Au départ de la gare principale de Pékin, l'incontournable transsibérien (via le transmandchourien et le transmongolien) relie la cosmopolite capitale chinoise à la lointaine Moscou, distante de près de dix mille kilomètres. Parmi les voyageurs étrangers se trouve le couple Roy et Jessie, d'origine américaine, venu sous l'égide de leur église pour le parrainage de quelques enfants chinois. C'est au premier arrêt ferroviaire qu'un autre couple vient s'installer dans leur compartiment, composé d'un sympathique jeune homme d'origine espagnole, prénommé Carlos, et sa compagne Abby, plutôt taciturne et un brin effarouchée. On sympathise et la cordiale ambiance déborde, le jour suivant, sur les autres voyageurs du wagon. Peu à peu, le séduisant Ibère qui voyage avec des dizaines d'intrigantes matriochkas dans ses bagages (ces fameuses poupées gigognes russes) manifeste de plus en plus fréquemment son attirance pour la méfiante Jessie. Tout se complique dramatiquement, lorsque le sémillant Roy, passionné par les vieilles locomotives, oublie de remonter à l'heure dans le train. Tous les trois décident donc de descendre au prochain arrêt et d'attendre le retour de l'étourdi par un prochain convoi. Parallèlement, un certain Grinko, discret flic au service du bureau des narcotiques, semble beaucoup s'intéresser à nos voyageurs.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 10/20
Pas vraiment de quoi s'embarquer, encore moins s'emballer pour cette histoire bien longue et bien lourde, avec des pans entiers du scénario totalement irréalistes et improbables, pour un ensemble floconneux, cousu de fil blanc, pouvant faire craindre que Brad Anderson s'est momentanément égaré dans les glaciales neiges sibériennes, pour notre plus grande et inattendue déconvenue.
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