Fort justement reconnu et primé dans maints festivals pour son indéniable fraîcheur, le profond humanisme de son récit et l'étonnante force de vivre qui s'en dégage, cette œuvre douce-amère et lumineuse fait à nouveau la part belle aux nombreux antihéros de la cinématographie, Asa l'amoureux rejoignant, ici son frère tchèque,
Otik le rêveur, dans l'apparente disgrâce pavillonnaire...