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LA MERVEILLEUSE HISTOIRE DE MANDY-1952-
Nationalité :
Grande-Bretagne251
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 13/02/1953
Themes
Taxis
- cinéma britannique -
Distributeur : Victory Films
Visa d'exp. : 13578
Résumé
C'est avec consternation et tristesse que Christine et Harry Garland découvrent, par hasard, que leur petite fille âgée de deux ans, prénommée Mandy, est atteinte d'une congénitale surdité. Profondément en désaccord sur la conduite à tenir, (le paternel préconise un maintien dans le cocon familial et la venue d'une éducatrice pour lui apprendre le langage des signes alors que la maman prône plutôt l'admission dans une école spécialisée) le couple n'arrive pas à s'entendre sur la meilleure alternative possible. C'est vers l'âge de sept ans, que la gamine est confiée, sur l'instigation de sa mère, à l'institution du professeur Searle dans laquelle les premières semaines seront fort tumultueuses et souvent difficiles, face à son inaccoutumance à vivre avec d'autres enfants. Afin d'améliorer considérablement les conditions et les moyens d'intégration de sa fille, Christine décide de déménager pour quelques mois afin de se rapprocher de l'établissement et permettre ainsi à Mandy de prendre le statut de "pensionnaire externe." Alors que l'équilibre psychologique et un lent rapprochement avec ses camarades d'infortune semblent lentement se consolider, d'autres désagréments s'invitent en dysharmonie et perturbations. D'un côté, la politique éducative de son responsable est de plus en plus fréquemment et fortement contestée par un certain Ackland, homme politique borné et financier de l'institution spécialisée qui cherche avant tout le rendement et le prestige et d'un autre côté, la réaction outrancière et outrée du père de Mandy qui vit fort mal l'absence de son épouse et la proximité de cette dernière avec Searle, l'opiniâtre et compétent directeur de l'école.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Troisième long métrage du peu prolifique réalisateur britannique Alexander Mackendrick qui fut honoré par une rétrospective au 43e Festival International du Film de La Rochelle (2015) abordant un sujet particulièrement émouvant, vivifié par une solide interprétation des acteurs principaux, avec une mention spéciale à la petite Mandy Miller qui, sans affectation surnuméraire ni pesant cabotinage, parvient à crédibiliser souverainement son personnage de gamine sourde et désorientée.