Même si le volubile Bill Maher coupe trop souvent éhontément la parole à ses interlocuteurs (au lieu de laisser au montage le soin de prolonger ou d'interrompre une interview) et que l'insert systématique de maints extraits de films, d'illustrations sonores et visuelles frise la surabondance éreintante et facile, on acquiesce à ce genre de production édifiante sur la bêtise et la fourberie de la nature humaine. A voir en parallèle avec le réjouissant et plus élaboré
"Jesus Camp" de Heidi Ewing.