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LA MOMIE AZTÈQUE-1957-
Nationalité : Mexique
Titre VO : La momia azteca
Durée : 1h20
Genre : FANTASTIQUE
Réalisation : Rafael PORTILLO
D'après une histoire de Alfredo SALAZAR
Prise de vues : Enrique WALLACE
Musique : Antonio DIAZ CONDE
Résumé
Alors qu'un dangereux et mystérieux bandit masqué surnommé "La chauve-souris" vient encore une fois d'échapper aux forces de police lancées à ses trousses (selon certains dires, un scientifique qui vole de l'argent pour financer de terribles expériences), se tient le premier congrès international de recherches neuro-psychiatriques lors duquel le fameux docteur Eduardo Almada, diplômé de l'Institut d'Hypnothérapie de Prague, fait une tonitruante annonce concernant les possibilités de se souvenir de ses vies antérieures, grâce à l'hypnose. Comme aucune preuve tangible n'accrédite ses affirmations, notre scientifique, désespérant de prouver ses certitudes, va accepter la proposition de sa fiancée Flora de tenter la dangereuse expérience. En lourde transe, la jeune femme se laisse doucement interroger sur sa personnalité du moment. Elle affirme s'appeler "Poupée Xochi", se trouver dans la grande Tenochitlan et être consacrée à la fête du Tozcatl en l'honneur des dieux de Tezcatlipoca, destinée à être sacrifiée dans dix lunes. Un monarque aztèque, Popoca, amoureux de la douce vestale et qui ne veut pas qu'elle meurt, est arrêté par les impitoyables prêtres du temple sacré et enterré vivant, alors que la belle est mortellement poignardée. Profondément traumatisée par son voyage intemporel, Flora refuse de retourner dans la fatale pyramide, pour récupérer le pectoral et le bracelet nécessaires au déchiffrage des obscures hiéroglyphes censés indiquer l'emplacement d'un colossal trésor aztèque. Toute cette agitation fantastique est suivie discrètement par le malfrat masqué et sa redoutable bande armée. Après quelques dramatiques rebondissements, dont le réveil de Popoca en momie vengeresse, l'enlèvement de Flora et l'arrestation de l'énigmatique "Chauve-Souris", la paix reviendra dans la cité, avec le sacrifice du paternel de la jeune femme qui, crucifix et dynamite au poing, va renvoyer l'horrible créature dans l'oubli temporel et rassurant et ramener ainsi la paix sur la contrée.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
Classique du cinéma bis mexicain, bien moins insipide que certaines réalisations pendables de la même époque, sur une thématique fantastique récurrente, dont on ne retiendra finalement que la beauté marmoréenne de Rosita Arenas, déjà remarquée dans "L'enjoleuse" de Luis Bunuel, évidemment d'un autre niveau cinématographique.
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