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MENSONGES D'ÉTAT-2008-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Body of lies
Durée : 2h08
Date de sortie en France : 05/11/2008
Themes
Chiens
- cinéma américain -
Milieu médical
- cinéma américain -
Déserts
- cinéma américain -
Obésité
- cinéma américain -
Architectes
- cinéma américain -
Terrorisme
- cinéma américain -
Réalisation : Ridley SCOTT
Scénario : William MONAHAN
Inspiration : D'après le roman éponyme de David IGNATIUS
Prise de vues : Alexander WITT
Musique : Marc STREITENFELD
Distributeur : Warner Bros Pictures France
Visa d'exp. : 121654
Résumé
Depuis peu, quelques pays européens sont en butte à une vague d'attentats islamistes commandités par les cellules terroristes d'un certain Al-Saleem, difficilement repérables depuis qu'elles ont renoncé aux transmissions téléphoniques ou télématiques, préférant revenir à d'indistincts contacts directs, verbaux, messages remis de main à main, tous quasiment indétectables. C'est à Samarra, sur les bords du Tigre, en Irak, que Roger Ferris, agent de la CIA parlant couramment l'arabe, parvient à obtenir un premier contact prometteur en la personne d'un certain Nizar, qui refusant de devenir un martyr de la cause arabe, accepte ainsi de collaborer avec les Américains. Mais une opération déclenchée avec un peu trop de hâte, depuis les permanents écrans de surveillance yankees de Langley en Virginie, siège de la célèbre agence, orchestrée par Ed Hoffman, le supérieur hiérarchique de Ferris, échoue lamentablement, faisant déguerpir les combattants d'une section d'Al Quaïda, en discrète observation. Il faudra à nouveau déplacer les recherches jusqu'en Jordanie où l'aide précieuse du chef des services secrets locaux, l'intransigeant Hani, est fortement sollicitée et encouragée. Sur place, Ferris qui s'est amouraché d'une délicieuse infirmière prénommée Aisha, tente par tous les moyens d'empêcher que son propre gouvernement, par l'intermédiaire de son hypocrite patron, ne joue à nouveau perso, négligeant de tenir au courant les partenaires locaux de ses orientations et choix stratégiques. Finalement, il sera décidé, pour débusquer l'insaisissable Al-Saleem, de créer depuis Washington une cellule terroriste fictive, baptisée "les Frères de la Conscience", par l'intermédiaire d'un architecte jordanien manipulé, fomentant un sanglant attentat bidon sur une base américaine en Turquie, pour attiser la curiosité et la réactivité des groupuscules islamiques. Si la savante élaboration américaine du leurre terroriste est un patent succès, il reste que la petite amie de Ferris a été enlevée et risque une mort certaine.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
Même si Leonardo di Caprio et Russell Crowe sont tous deux irréprochables dans leurs interprétations respectives, les nombreuses scènes d'action réglées au cordeau, la couleur locale et politique parfaitement respectée, on ne peut pourtant s'empêcher de ressentir une affolante viduité de l'ensemble, maintenu vaille que vaille par un scénario extrêmement basique et d'une consternante platitude dans sa trame.
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Bibliographie