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BLINDNESS-2008-
Nationalités : Brésil / Canada / Japon
Titre VO : Blindness
Durée : 2h01
Date de sortie en France : 08/10/2008
Themes
Chiens
- cinéma canadien -
Cécité
- cinéma canadien -
Milieu médical
- cinéma canadien -
Prostitution
- cinéma canadien -
Racisme
- cinéma canadien -
Réalisation : Fernando MEIRELLES
Scénario : Don MAC KELLAR
Inspiration : D'après le roman L'aveuglement de José SARAMAGO
Prise de vues : Cesar CHARLONE
Distributeur : Pathé Distribution
Visa d'exp. : 121440
Résumé
Une ville américaine en pleine activité économique méridienne. Dans une circulation dense, parmi le flot incessant des véhicules privés et professionnels, un quidam d'origine nippone est victime d'une brutale cécité, au volant de sa voiture. L'examen ophtalmologique ne détecte aucune altération apparente des yeux et conclut à une incroyable et fortuite aberration médicale. Mais lorsque la plupart des personnes qui ont côtoyé la victime sont atteintes de la même affection, surnommée rapidement par les médias, "le mal blanc", les autorités compétentes décident de mettre en place, de toute urgence, pour lutter contre une propagation incontrôlable de la mystérieuse épidémie, des mises en quarantaine systématiques. Lorsque l'un des médecins de l'hôpital où la première infection a été signalée, est lui aussi contaminé et que les services immunologiques l'emmènent, comme tant d'autres, dans un vieil édifice délabré, étroitement gardé, isolé par les forces armées, son épouse, résistante à l'incroyable contamination, l'accompagne dans son internement, simulant vaille que vaille une cécité inexistante. Sur les lieux, un semblant d'organisation se met en place, par dortoirs, en un rien de temps annihilé par la prise de pouvoir d'un petit facho de couloir, doté d'une grande gueule, d'un révolver et d'un phallus.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 1/20
Peut-être l'un des films les plus nullissimes de cette dernière décennie ! Accumulant les erreurs scénaristiques, en une rare pandémie d'incongruités et d'inepties, n'hésitant pas à jouer sur le sordide le plus lourdingue et le plus complaisant, se voulant une signifiante parabole des calamiteux errements de la nature humaine et ne proposant qu'une paraphrénie cinématographique incohérente et niaise, cette oeuvre, époustouflante de ringardise et de banalité, indigne d'un réalisateur qui nous avait vraiment séduit dans le passé, ne mérite qu'ignorance et mépris, au mieux un tonitruant éclat de rire narquois et dédaigneux. Navrant précipité d'ignorance et de petitesse, tourné sous permanents anxiolytiques ou périmées amphétamines, cette pochade stupide et sordide, remet Meirelles à sa juste place, comme en son temps Vinterberg, d'illusoire épiphénomène du Septième Art.
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Bibliographie