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GO FAST-2008-
Nationalité : France
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 01/10/2008
Genre : THRILLER
Distributeur : EuropaCorp Distribution
Visa d'exp. : 109482
Résumé
Officier de police spécialisé dans l'infiltration de groupes mafieux, l'inspecteur Marek vient de perdre son meilleur ami, Jean-Do Paoli et quelques autres collègues, dans une foireuse opération contre un réseau de drogue, dans une incertaine cité de la banlieue de Clichy. Profondément perturbé par ce douloureux drame professionnel et personnel, notre pandore finit par accepter une nouvelle mission, tout aussi risqué, consistant à s'introduire dans un redoutable gang international qui trafique dans le cannabis et la cocaïne, depuis le lointain Maroc (production), via l'Espagne (transit et stockage) jusque dans l'anonyme et rentable région parisienne (consommation). C'est sous l'identité d'un jeune truand récemment évadé, et non sans avoir suivi un intensif entraînement dans les forces du Raid (Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion) que Marek se fait recruter par une équipe de malfrats pour convoyer un important chargement de stupéfiants selon la technique du "Go fast" consistant, à l'aide de plusieurs puissants véhicules trafiqués, boostés, de transporter le plus rapidement possible d'un point à un autre la drogue ou tous autres produits illicites et lucratifs. C'est donc sous les ordres des implacables frères Langlois supervisant le trafic depuis leur spacieuse villa de Malaga, qu'il se rend dans les bigarrés faubourgs marocains de la vallée de Ketama, accompagné d'un autre convoyeur pour chercher au coeur même de la vaste zone de production, la précieuse came à transporter.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 9/20
Au crédit du film, des scènes d'action rondement menées et correctement filmées. Et c'est tout, vraiment tout. En effet, le reste déborde de séquences convenues, attendues, entendues, avec une stéréotypie navrante de l'ensemble du scénario et des personnages, frisant la lourde caricature typologique et les codifications archétypales jusque dans l'inévitable scène finale, à l'aéroport, d'une facilité désastreuse où tonton Marek retrouve, comme par hasard sa "James Bond Girl" en partance.
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Bibliographie