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J'ENTERRE LES VIVANTS-1958-
Nationalité :
États-Unis231
Titre VO : I bury the living
Résumé
Stuart Drexel vient de se marier avec la délicieuse Elisabeth et pour hériter de son riche paternel, il doit louer une concession au cimetière municipal. Robert Kraft, président d'un grand magasin de la ville, est nommé, à titre honorifique, directeur du cimetière, baptisé "Les collines immortelles". Andy Mac Kee, le croque-mort local, maintenant près de la retraite, se doit de se trouver un remplaçant. Tout semble fonctionner parfaitement, dans le meilleur des mondes funèbres possibles. Mais voilà que notre nouveau patron, épinglant sur le plan des concessions du cimetière, affiché dans son bureau, l'emplacement réservé des jeunes mariés Drexel, avec deux anonymes punaises noires, qu'il provoque indirectement le décès accidentelle du couple. Une nouvelle expérience avec Will Isham, le taxidermiste, qui depuis longtemps avait réservé sa place "aux collines immortelles" (emplacement noté par une punaise blanche) en modifiant la couleur de l'épingle pour le noir, fait succomber notre bonhomme d'une radicale hémorragie cérébrale. Faisant part de ses inquiétudes à un ami journaliste qui le rassure, en évoquant un hasard malencontreux, Kraft refait une nouvelle expérience avec un certain Henry Trowbridge qui effectivement décède peu de temps après d'un infarctus. Toujours fort dubitatif quant à la réalité des pouvoirs mortels de notre directeur, les trois membres du comité lui propose de tenter un ultime et radical essai avec leur propres emplacements mortuaires. Hélas pour notre téméraire trio, la mort les attend l'un après l'autre. C'est alors que Kraft, traversé par une idée lumineuse, se dit qu'en inversant les épingles noires avec les blanches, il pourrait certainement faire revivre les pauvres macchabées.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 4/20
C'est déjà ennuyeux au possible à force de s'étirer vers le répétitif situationnel, mais arrivé aux dernières minutes du film, on reste pétrifié par l'abyssale bêtise du dénouement, compréhensible au vu du cinéaste derrière la réalisation.