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NI LA MER NI LE SABLE-1972-
Nationalité : Grande-Bretagne
Titre VO : Neither the sea nor the sand
Durée : 1h40
Genre : FANTASTIQUE
Themes
Suicide
- cinéma britannique -
Réalisation : Fred BURNLEY
Inspiration : D'après un roman de Gordon HONEYCOMBE
Prise de vues : David MUIR
Musique : Nachum HEIMAN
Résumé
Anna Robinson, une jeune Ecossaise en pleine crise affective avec son époux, s'en vient un week-end à Jersey, pour se ressourcer et tenter d'oublier un peu les tourments de sa désastreuse vie sentimentale. Près d'un phare, elle fait la connaissance d'un séduisant jeune homme, Hugh Dabernon, qui travaille à l'aéroport et pour lequel elle se sent immédiatement de fortes et pressantes attirances. Devant quitter le lendemain l'île par bateau, elle y renonce finalement pour rester avec le garçon qui lui aussi, en pince pour la belle inconnue. Il l'invite chez lui, dans une agréable maison du cru qu'il partage avec son frère, prénommé George. Ce dernier voit d'un fort mauvais oeil l'irruption de la jeune femme dans leur intimité, surtout qu'elle va finalement se retrouver, ô scandale, nue et lascive, avec son frangin, dans la chambre et le lit de maman, décédée depuis des lustres et des requiem. Le couple décide en fin de compte de s'isoler dans une vieille bâtisse familiale et de profiter pleinement de leur proximité amoureuse et de celle d'une nature environnante exceptionnelle. C'est lors d'une de leurs longues balades passionnées, en bord de mer que Hugh pris d'un malaise, meurt soudainement. Drame affreux pour Anna qui sombre rapidement dans une profonde douleur incommensurable. Mais quel bonheur, le lendemain, de voir son amoureux sur le pas de la porte, parfaitement vivant, malgré tous les certificats de décès de la planète. On décide finalement de s'envoler pour l'Ecosse. Un bonheur tout chaud qui renaît, malgré un comportement catatonique du jeune homme, comme perdu dans un autre monde.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 4/20
Dieu quelle médiocrité ! Sur le thème de l'amour éternel mâtiné d'un zeste de mort-vivant revenant, sur fond de cartes postales insulaires, une réalisation catastrophique d'un obscur metteur en scène dont ce film demeure l'unique production. Reste une scène bienvenue et "naturelle" : l'irruption de la marée dans un étroit chenal et la course contre la montre et l'assaut des vagues.
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