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DIDINE-2007-
Nationalité : France
Durée : 1h43
Date de sortie en France : 23/01/2008
Genre : COMÉDIE
Themes
3e âge
- cinéma français -
Adoption
- cinéma français -
Milieu médical
- cinéma français -
Mariage
- cinéma français -
Suicide
- cinéma français -
Rêves et cauchemars
- cinéma français -
Réalisation : Vincent DIETSCHY
Scénario
Scénario et Adaptation
: Anne LE NY
Prise de vues : Marc TEVANIAN
Nota
Film dédié à Pierre Geismar
Distributeur : Pyramide
Visa d'exp. : 112416
Résumé
Alexandrine Langlois, plus connue de ses proches sous le bêtifiant surnom de "Didine", traverse l'existence en probable lévitation relationnelle, vivant au jour le jour, sans aspirations précises ni apparentes complications, aimant au débotté, plus ou moins au hasard des rencontres et des courtes affinités, vivotant heureuse et absente de quelques irrégulières créations de motifs destinées aux requins de la confection et de la couture. Seul élément stable et repérable dans son vécu en pointillé, son intangible amitié avec l'anxieuse Muriel, cyclothymique et maniaco-dépressive jeune femme en perpétuels questionnements, une nouvelle fois en rupture avec son copain François, et à laquelle une visite à l'hôpital s'imposait, après de suicidaires libations en dérobade. L'occasion pour Didine d'entrer en possession provisoirement d'un ours en peluche, oublié par la vieille personne qui partageait la chambre de son amie et qu'elle va tenter de remettre à l'assistante sociale de l'établissement qui oeuvre aussi dans une association, "La main tendue" proposant son aide bénévole et ses services aux personnes âgées. C'est devant ce lieu anonyme et quelconque, à ce moment insignifiant de son existence, qu'elle croise un séduisant inconnu, prénommé Nicolas, et que sa vie va basculer définitivement dans l'amour.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Même si Géraldine Pailhas est lumineuse à souhait, que Benjamin Biolay et Christopher Thompson sont craquants ou croquants selon, que l'immense Edith Scob, imposante de finesse et d'intelligence, nous subjugue toujours et encore, l'ensemble manque cruellement d'énergie et de vigueur cinématographiques. Des dialogues d'une platitude confondante, une abyssale indigence scénaristique, des scènes attendues et entendues au coin de la plupart des répliques et au final, une réalisation prudente et docile, piétinante et modélisable, sans aucune inspiration, presque une injure à la prestation convaincante de l'ensemble des acteurs...
Et ça sort de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques.
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Bibliographie