Mais pas vraiment le spectateur, qui reste englué dans une histoire confuse et mal réalisée, d'une lourdeur monumentale, avec les deux interprètes principaux en roue libre qui voudraient nous convaincre de leur investissement cinématographique, mais qui piétinent et s'agitent lamentablement, l'un, dans la placidité hautement inspirée (Jackson), l'autre, dans l'hystérie affective et tourmentée (Moore).