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LE TUEUR-2007-
Nationalité : France
Durée : 1h31
Date de sortie en France : 09/01/2008
Genre : THRILLER
Themes
Hôtels
- cinéma français -
Prostitution
- cinéma français -
Chômage
- cinéma français -
Réalisation : Cédric ANGER
Scénario : Cédric ANGER
Prise de vues : Caroline CHAMPETIER
Musique : Gregoire HETZEL
Produit par Saïd BEN SAÏD et Thomas KLOTZ
Distributeur : UGC Distribution
Visa d'exp. : 112607
Résumé
Efficace homme d'affaires, dans le milieu spéculatif des investissements boursiers, Léo Zimmerman sait qu'il. un tueur à gages, depuis quelques temps, à ses trousses. Ce qui le rend passablement inquiet, nerveux, voire paniqué; on le serait à moins. Lorsqu'il parvient enfin à repérer le mortel quidam, un certain Dimitri Kopas, il décide de le contacter et lui propose un marché peu banal. Qu'il le laisse vivre jusqu'au prochain samedi, afin qu'il puisse régler ses (dernières) affaires en cours, et en retour Léo prendra en charge tous ses frais de villégiature dans la capitale. D'abord hésitant et suspicieux, Kopas qui. "rencontré" au bar de son hôtel, une jeune et docile créature, finit par accepter l'étonnant pacte, tout en gardant un oeil vigilant sur les moult déambulations de sa future et consentante victime.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Scénario et réalisation concoctés par un ancien critique des "Cahiers du Cinéma" aux motifs dramatiques guère originaux, maintes fois utilisés au cinéma, de mémoire, par Ernest Neubach, une fois en 1949, une seconde fois en 1952, par Robert Siodmak, en 1931, par Aki Kaurismaki en 1990 et plus confidentiellement dans des films comme "La petite annonce" (1970) "Je ne peux vivre sans toi" (1977) "Dream with the fishes" (1997) et la même année, aussi. "Un ami du défunt". Rien de bien nouveau, mais finalement rien de blâmable, en soi, non plus. Ce qui est beaucoup plus gênant et parfaitement illogique dans le synopsis de Cédric Anger, c'est la demande d'un répit de quelques jours avant l'exécution du contrat, formulée par Gilbert Melki, alors que la décision de son indirect suicide assisté induisait tout normalement une minutieuse et ANTERIEURE préparation (actes notariaux pour sa fille, processus boursier pour ruiner son associé). Vraiment un peu léger pour un premier film. Et ce ne seront pas les orteils en éventail et en "arc-en-ciel" de Mélanie Laurent qui sauveront le filmage de son manque flagrant de tonalité et de couleur, au détriment d'une prudence et d'une rigidité plutôt pesantes.
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