Aucun résultat pour cette recherche
LE PAVILLON ROUGE-1934-
Nationalité :
Grande-Bretagne251
Titre VO : Red ensign
Durée : 1h09
Themes
Distribution
Nota
Le titre du film réfère à l'enseigne arborée par la Royal Navy.
Résumé
Des hommes, des chantiers, des banquiers...
Pendant les terribles années noires de la Dépression qui jetèrent dans la rue et dans la pauvreté des milliers de chômeurs désenchantés, David Barr, opiniâtre patron d'une entreprise de chantier naval, s'engage à redresser la flotte commerciale britannique grâce à la construction d'un nouveau prototype de bateau révolutionnaire. Les difficultés seront immenses et nombreuses, face à la frilosité des investisseurs qui vont finalement se retirer du projet, l'un après l'autre, (hormis la délicieuse June Mac Kinnon dont les inclinations sont plus affectives que maritimes) face à l'hostilité de quelques obscurs milieux d'affaires manipulés par le sournois Manning qui n'hésite pas à faire dynamiter une partie de l'édification en cours, avec en (dé)prime la compréhensible méfiance des ouvriers qui apprennent que leur paie sera différée. Farouchement convaincu du bien-fondé de son projet, notre entêté bonhomme n'hésitera pas à faire un faux en signature, quitte à effectuer un séjour dans les geôles de l'Etat.
Pendant les terribles années noires de la Dépression qui jetèrent dans la rue et dans la pauvreté des milliers de chômeurs désenchantés, David Barr, opiniâtre patron d'une entreprise de chantier naval, s'engage à redresser la flotte commerciale britannique grâce à la construction d'un nouveau prototype de bateau révolutionnaire. Les difficultés seront immenses et nombreuses, face à la frilosité des investisseurs qui vont finalement se retirer du projet, l'un après l'autre, (hormis la délicieuse June Mac Kinnon dont les inclinations sont plus affectives que maritimes) face à l'hostilité de quelques obscurs milieux d'affaires manipulés par le sournois Manning qui n'hésite pas à faire dynamiter une partie de l'édification en cours, avec en (dé)prime la compréhensible méfiance des ouvriers qui apprennent que leur paie sera différée. Farouchement convaincu du bien-fondé de son projet, notre entêté bonhomme n'hésitera pas à faire un faux en signature, quitte à effectuer un séjour dans les geôles de l'Etat.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Seconde collaboration de Leslie Banks et de Carol Goodner à une réalisation de Michael Powell, qui nous offre une oeuvre bienvenue, encore largement éloignée des bienheureuses envolées lyriques des prodigieuses mises en scène de la glorieuse décennie des années 1940, mais qui impose tout de même sa force et sa présence.