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SON EPOUSE ANGLAISE-1926-
Film Muet
Nationalité : Suède
Titre VO : Hans engelska fru
Durée : 2h08
Date de sortie en France : 23/03/1928
Themes
Trains et gares
- cinéma suédois -
Mariage
- cinéma suédois -
Hôtels
- cinéma suédois -
Réalisation : Gustaf MOLANDER
Scénario : Paul MERZBACH
Prise de vues : Ake DAHLQVIST et Julius JAENZON
Résumé
Cathleen Paget est une jolie veuve anglaise dont la fortune a été ignominieusement dilapidée par son frère, un insipide et maniéré énergumène sans une once d'honnêteté et de remords. Aussi pour redorer le blason et les finances de la famille, il est expressément conseillé à Cathleen de se remarier rapidement avec leur créancier, un certain Birger Holm, directeur de plusieurs usines suédoises, jamais rencontré auparavant. C'est ainsi que notre demoiselle, accompagnée de sa fourbe mère et de son odieux frangin s'en viennent en Scandinavie pour rencontrer ce bon parti. Lors d'une halte près d'un bouillonnant torrent, au bord d'une instable corniche, Cathleen fait une vertigineuse chute dans le cours d'eau et sera sauvée in extremis par... Birger que personne ne re(connaît). Après quelques suaves quiproquos et une attirance a priori réciproque, les noces sont célébrées. Mais déjà au bout d'un an de mariage, devenue neurasthénique et agressive de part l'isolement nordique, notre jeune épouse ne rêve que de festivités et de sorties nocturnes. Sur les conseils de son mari, elle va rejoindre à Londres sa mère, fort contente de pouvoir assister aux fastueuses réjouissances organisées par le célèbre hôtel Savoy où elle retrouve avec plaisir un ancien prétendant, le guindé et prétentieux Ivor Willington. Apprenant par hasard, au cours d'une émission internationale de radio que son épouse s'exhibe dans un spectacle de tableau vivant, Birger décide de se rendre en Angleterre.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Décidément le metteur en scène Gustav Molander impressionne et séduit prodigieusement dans le registre des comédies sentimentales, surtout durant la mémorable période muette de ses réalisations. On notera une grande finesse dans l'observation et la description des personnages, même secondaires, et un sympathique final ferroviaire qui nous rappelle inévitablement "Brève rencontre" de David Lean.
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