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LE SOURIRE DE MA MÈRE-2002-
Nationalité : Italie
Titre VO : Il sorriso di mia madre
Autre-Titre VO : L'ora di religione
Durée : 1h42
Date de sortie en France : 20/11/2002
Genre : DRAME
Themes
Peintres, peinture et tableaux
- cinéma italien -
Religions et croyances
- cinéma italien -
Représentant(e)s du culte
- cinéma italien -
Milieu scolaire
- cinéma italien -
Photos et photographes
- cinéma italien -
Milieu médical
- cinéma italien -
Handicapés moteurs
- cinéma italien -
Distributeur : Océan Films Distribution
Visa d'exp. : 107056
Résumé
Libre penseur et solide athée, le peintre romain Ernesto Picciafuoco, dont les illustrations pour les livres destinés aux enfants sont célèbres, apprend avec stupéfaction que l'on veut canoniser sa mère, quitte à manipuler la vérité sur son décès. En effet, cette dernière a été mortellement poignardée par Egidio, un de ses fils, aujourd'hui interné dans un hôpital psychiatrique et enfermé dans un obstiné et profond mutisme. C'est sur l'instigation de ses tantes et de ses frères ainsi que de son épouse Irène avec laquelle il est en instance de divorce, que depuis environ trois ans la complexe procédure a été mise en œuvre avec bien sûr comme preuve absolue de sainteté, la guérison miraculeuse d'un vague ami handicapé. Alors que son jeune fils Leonardo s'interroge avec obstination sur Dieu, notre artiste peintre se voit dans l'obligation de rencontrer le professeur de religion du gamin, afin de tempérer son enseignement, il se retrouve en face d'une délicieuse créature, Diana Sereni, admiratrice de son œuvre picturale et qui devient bientôt sa maîtresse, comme par enchantement ou par collusion. Et ce ne sera ni son stupide duel avec l'exaspérant comte Bulla ni les pressions diverses et variées des instances familiales et religieuses, qui mettront un terme à son refus de participer à la prochaine mascarade papale.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 17/20
Sous de tranquilles apparences de décontraction feutrée, nimbée de savoir-vivre et de tolérance intellectuelle, un suave et virulent brûlot contre les calotins de la curie épiscopale et les satrapes de la religion qui coassent en chœur et en liturgie les saintes paroles du "crapaud de Nazareth", entre une paternelle bénédiction et quelques lampées de Don Pérignon millésimés, pour perpétrer la grande farce millénaire.
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Bibliographie