Nous aimons beaucoup les films de Philippe Garrel de la décennie 1990 et en ce qui concerne les réalisations post année 2000, notre point de vue flirte avec l'éloge dithyrambique peaufiné d'émotion et d'admiration. Pour la période dite Zanzibar des œuvres connotées expérimentales, on reste passablement dubitatif et perplexe devant une narration souvent amphigourique et pesante qui se voulait avant tout limpide et primitive.