Critique de
inconnu(e)
On est bien obligé de considérer David Fincher comme un cinéaste engagé, voire franchement raciste. Dans Panic Room, les méchants psychopathes sont des hommes blancs, tandis que leur complice noir est plus sage. Même top dans Alien III : le noir est le chef; et c'est lui qui va sauver le lieutenant Ripley de la tentative de viol par ses codétenus blancs. Dans Seven, on se rend compte que David Fincher n'aime pas beaucoup les catholiques non plus. Heureusement qu'il y a Fight Club pour sauver la mise !!