Un classique du cinéma coréen (du sud) d'une incroyable noirceur, au diabolique crescendo dans l'horreur et la tourmente, n'évitant absolument pas la surenchère et les outrances, dans une sorte de malström de la perfidie et de l'anéantissement. A noter une curieuse clôture du film dans une déclaration démonstrative et moralisante, afin d'atténuer les possibles rigueurs de la censure qui ne nous ont pas priver de revoir ce film au 25e Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul (2019).