Conducteur du bus de la ligne 208, le dénommé Bruno est agressé un soir par une petite bande de beurs qui, après avoir importuné les passagers, le poignarde assez grièvement. Après une longue convalescence, et malgré les sollicitudes de son épouse Djamila et de ses collègues, il sombre dans une profonde dépression et une tenace rancoeur. Sa morosité le fait renouer avec une ancienne maîtresse et son désir de vengeance, adhérer à un parti xénophobe, raciste et nationaliste.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
NoteCinéfiches : 14/20
Une oeuvre courageuse, un peu gauche, jouée par de superbes acteurs.