Alors que certains parlent haut et fort de souveraine virtuosité dans la mise en scène, se pâmant et glosant de leur suffisance et de leur ignorance sur la chose cinématographique, nous n'y voyons qu'incongrus et fastidieux collages de quelques faciles et banals procédés extirpés d'un "package" en provenance de l'univers des clips (écrans multiples, accélérés, noir et blanc, commentaire direct, trucages) La séquence où Jake Walsch se fait apostropher par son propre chat, reste de loin une des scènes les plus ridicules subie sur un écran, de ces dernières années.