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VIVRE VITE-1980-
Nationalité : Espagne
Titre VO : Deprisa deprisa
Durée : 1h43
Date de sortie en France : 25/03/1981
Genre : DRAME
Themes
Délinquance
- cinéma espagnol -
Adolescence
- cinéma espagnol -
Chômage
- cinéma espagnol -
Drogue - trafic
- cinéma espagnol -
Réalisation : Carlos SAURA
Assistance à la Réalisation : Sébastien GRALL
Scénario : Carlos SAURA
Prise de vues : Teo ESCAMILLA
Distributeur : Films Molière
Visa d'exp. : 52789
Résumé
L'existence mouvementée d'une bande de jeunes délinquants espagnols entre vols de voitures, trafics et consommation de drogue, attaques à main armée jusqu'à l'ultime hold-up sanglant d'une agence bancaire.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 12/20
Malgré l'utilisation d'acteurs non professionnels et même de jeunes garçons ayant eu véritablement maille à partir avec la justice pour des affaires similaires, malgré une caméra alerte et sans cesse en mouvement, malgré une indéniable véracité et un constant souci d'authenticité, le film provoque souvent la déception et l'insatisfaction. Mérite un nouveau visionnement et peut-être une réhabilitation.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Un film qui m'a beaucoup marqué. Une fuite en avant dans un sens sans issue. Le titre correspond bien, sans oublier la musique qui lui colle parfaitement. GENIAL.
Note : 17/20
Projeté au 21ème festival espagnol de Nantes 2011 avec accueil chaleureux de Carlos Saura (respirant la santé faite homme !), ce film méconnu et qui semble depuis 1981 avoir pourtant inspiré moult réalisateurs du fait d'une actualité transgressive toujours plus exploitable. Qu'importe si on a fait mieux techniquement, parfois en y ajoutant une dimension d'humour noir et du sexe bien brut (je pense au britannique "Rebels without a clue" de 2007 entre autres...), on dispose d'un repère : les beaux yeux de la jeune barmaid. Ils allument suffisamment pour qu'on ait envie de tout savoir sur sa trajectoire de petite frappe convertie. Cela va crescendo en audaces et en frayeurs mais jamais choquant car plein de cette mansuétude du "il faut que jeunesse se passe" encore de mise dans les eighties. On sent "le filtre Saura", autre chose qu'une poubelle de violence déversée par des amateurs de petite guerre laissant croire que virtuel et réel ont fusionné !
Bibliographie